L'Italie en Direct - Vidéos CultureL'Italie en direct, L'Italia in diretta2024-03-19T18:33:14+01:00urn:md5:7448ac4623f8eca95cf6e4f6b4dc0c68Dotclear« Les italiens », une galerie de portraits de 13 « ritals » qui ont rencontré le succès en Franceurn:md5:caa56deac30399b240ca8616278bbddc2024-03-19T19:33:00+01:002024-03-19T19:33:14+01:00RédactionVidéos Culture<iframe class="videos" src="https://www.youtube.com/embed/elPRA-UVJXw" frameborder="0" allowfullscreen></iframe>
<p>Les liens entre l’Italie et la France sont très anciens, et bien qu’ils n’aient pas toujours été sereins, ils sont survécu aux accidents de l’histoire, aux conflits, aux rivalités, aux polémiques, aux confrontations. C’est Dario Maltese, un journaliste de la télévision italienne (il présente le journal de 20 heures de la 5.ème chaîne) qui nous le dit, et qui affirme que « les français nous aiment » (nous, les italiens). Pour le démontrer il a rencontré et interviewé 13 « ritals », mais pas n’importe lesquels. 13 personnalités, 7 femmes et 6 hommes, qui ont quitté l’Italie pour s’installer en France, où ils ont rencontré le succès et les honneurs. 13 portraits singuliers de personnages di occupent des places de premier plan dans des domaines aussi différents que la mode, l’industrie, le spectacle, la culture, la gastronomie, la littérature, la photographie et même la politique. Ces personnalités s’appellent Francesca Bellettini, Carla Bruni, Pietro Beccari, Eleonora Abbagnato, Giuliano da Empoli, Vittoria Colizza, Angelo Musa, Monica Bellucci, Luca de Meo, Philippine Leroy-Beaulieu, Paolo Reversi, Giambattista Valli et Claudia Ferrazzi. Ce sont les dignes descendants de tous ces italiens qui, au cours des siècles, on contribué à « faire la France », de Léonard de Vinci à Enrico Cernuschi, de Mazarin à Léon Gambetta, de Catherine de Médicis à Savorgnan de Brazza, de Giacomo Casanova à Emile Zola pour n’en citer que quelques uns. Dario Maltese a réuni 13 portraits dans un livre, « Les italiens » (éditions Rizzoli), qui propose un étonnant voyage dans l’univers de ces immigrés hors série qui, par leur talent, ont conquis Paris et la France.</p>http://italieendirect.italieaparis.net/article/-les-italiens-une-galerie-de-portraits-de-13-ritals-qui-ont-rencontre-le-succes-en-france-408/#comment-formhttp://italieendirect.italieaparis.net/feed/atom/comments/408Les encombrantes ombres du passé dans le nouveau roman de Valentina Supinourn:md5:7074ea2045c5ea8028be0297a96540b02024-03-14T11:03:00+01:002024-03-14T11:03:48+01:00RédactionVidéos Culture<iframe class="videos" src="https://www.youtube.com/embed/tb8kcUciLUs" frameborder="0" allowfullscreen></iframe>
<p>Psychiatre et psychanalyste, Valentina Supino vient de publier son dernier roman, « Ombre del Passato », largement inspiré de ses souvenirs autobiographiques, et dans lequel elle explore à nouveau les thèmes déjà présents dans ses livres précédents: le fascisme et ses exécrables lois raciales, l’antisémitisme, la discrimination. Valentina Supino avait déjà publié en 1995 « Il nome delle Serpi », puis en 2012 « Una nonna nel paese di Alice », deux livres autobiographiques, témoignages sur les années du fascisme, des persécutions raciales, de la guerre et de la Résistance vus à travers les yeux d’une petite fille. Valentina Supino offre au lecteur une perspective unique et personnelle sur ces évènements historiques , le tout enrichi par son expérience clinique et la compréhension des dynamiques humaines acquise dans son parcours professionnel de psychiatre et psychanalyste.</p>http://italieendirect.italieaparis.net/article/les-encombrantes-ombres-du-passe-dans-le-nouveau-roman-de-valentina-supino-406/#comment-formhttp://italieendirect.italieaparis.net/feed/atom/comments/406Le désordre mondial est là pour durer, prévient le politologue Manlio Grazianourn:md5:e82d6b0b502423f9101e3a9a4186002b2024-02-20T09:54:00+01:002024-02-20T09:54:06+01:00RédactionVidéos Culture<iframe class="videos" src="https://www.youtube.com/embed/yx27R9hkhSI" frameborder="0" allowfullscreen></iframe>
<p>Pour Manlio Graziano, expert de géopolitique, professeur à SciencesPo et à la Sorbonne, le futur prévisible ne se limite pas à l’alternative « ordre mondial - guerre mondiale ». Dans son dernier livre en italien, « Disordine mondiale » (éditions Mondadori), il cherche à expliquer pourquoi nous vivons dans un monde de plus en plus chaotique. La multiplication des conflits nous a précipités dans un désordre global. Une guerre au coeur de l’Europe, une autre au Moyen Orient, sans oublier toutes les tensions qui déchirent le monde, font que notre perception de la réalité soit toujours plus chaotique et incontrôlable. Selon Manlio Graziano « les États Unis perdent peu à peu ce qui reste de leur hégémonie stabilisatrice, et personne ne peut prétendre occuper leur place sans alimenter, étendre et approfondir le désordre qui s’étale sous nos yeux ». La conclusion, pessimiste, est que la situation chaotique et conflictuelle de la politique mondiale est destinée. à durer et à s’aggraver, ce qui rendra de plus en plus difficile la tâche d’affronter les défis des années à venir.</p>http://italieendirect.italieaparis.net/article/le-desordre-mondial-est-la-pour-durer-previent-le-politologue-manlio-graziano-405/#comment-formhttp://italieendirect.italieaparis.net/feed/atom/comments/405Buon appetito ! À table avec Alessandra Pierini et Pellegrino Artusiurn:md5:b498b2cea2306f3c0467a52c6806306e2023-12-17T20:33:00+01:002023-12-17T20:33:31+01:00RédactionVidéos Culture<iframe class="videos" src="https://www.youtube.com/embed/rGiuQrrJK2w" frameborder="0" allowfullscreen></iframe>
<p>Passionnée et experte en gastronomie italienne, Alessandra Pierini, née à Gênes, vit depuis une trentaine d’années en France, d’abord à Marseille puis à Paris. Dans son épicerie et cave à vins elle a partagé toutes ses découvertes, ses coups de coeur, les produits rares et raffinés, les recettes glanées à travers le péninsule italienne dont elle a inlassablement parcouru les routes. Aujourd’hui elle transmet son savoir au travers de nombreux livres, reportages, articles de presse, émissions de radio et de télévision, conférences. Avec son « complice » Stéphane Solier, professeur agrégé de Lettres classiques et chercheur en culture et histoire de l’alimentation, elle est chroniqueuse régulière de l’émission « On va déguster » de François-Régis Gaudry, le dimanche sur France Inter. En tandem avec Stéphane Solier, Alessandra Pierini a traduit en français et publié dans la collection « Faim de l’histoire » aux Éditions de l’Épure, ce monument de la gastronomie et de la bonne cuisine italienne qu’est le livre de Pellegrino Artusi paru la première fois en 1891 sous le titre « La scienza in cucina e l’arte di mangiar bene » (« La science en cuisine et l’art de bien manger »). Livre incontournable, avec ses 790 recettes, sans cesse réédité et traduit en 40 langues.</p>
<p>La nouvelle traduction de ce volume, que les italiens appellent familièrement et simplement « L’Artusi », témoigne, une fois de plus, du succès que la cuisine italienne connaît en France. Un succès qui ne cesse de croître et que ne peut plus être considéré come un simple phénomène de mode.</p>
<p>Entretien en italien avec Alessandra Pierini, ambassadrice de la gastronomie italienne en France, qui vient de traduire en français l’incontournable manuel de la cuisine italienne, « La science en cuisine et l’art de bien manger » écrit par Pellegrino Artusi.</p>http://italieendirect.italieaparis.net/article/buon-appetito-a-table-avec-alessandra-pierini-et-pellegrino-artusi-402/#comment-formhttp://italieendirect.italieaparis.net/feed/atom/comments/402Giacomo Puccini entre musique et littératureurn:md5:17d27ad09a879dc866b0d5fd9190ae1d2023-12-16T17:07:00+01:002023-12-20T17:08:51+01:00RédactionVidéos Culture<iframe class="videos" src="https://www.youtube.com/embed/UWA9OMmPo4Y" frameborder="0" allowfullscreen></iframe>
<p>Après 4 écrivains italiens - Leonardo Sciascia, Primo Levi, PierPaolo Pasolini, Italo Calvino - c’est à un compositeur, Giacomo Puccini, auteur de quelques uns des opéras italiens les plus célèbres, acclamés dans le monde entier et encore joués régulièrement aujourd’hui, que Valentina Frulio consacre son nouveau cycle de conférences. Dans cette conférence, la deuxième du cycle, Valentina Frulio, professeure d’italien à la Dante Alighieri de Paris, s’intéresse aux rapports entre Puccini et le littérature, et plus particulièrement aux sources littéraires de ses compositions musicales. En effet la plupart des opéras de Puccini sont inspirés par des oeuvres littéraires. Citons, dans l’ordre chronologique, « Manon Lescaut » d’après le roman de l’Abbé Prevost, « La Bohème » d’après « Scènes de la vie de bohème » d’Henri Murger, « Tosca » inspiré de la pièce de Victorien Sardou qui fut le plus grand succès de Sarah Bernhardt, « Madama Butterfly » (« Madame Chrysanthème » de Pierre Loti), « Gianni Schicchi » (fondé sur une histoire racontée dans « La Divine Comédie » de Dante, Enfer chant XXX), « Turandot » (d’après une fable de Carlo Gozzi).</p>http://italieendirect.italieaparis.net/article/giacomo-puccini-entre-musique-et-litterature-404/#comment-formhttp://italieendirect.italieaparis.net/feed/atom/comments/404Paris, la ville où l’on attrape le virus de la « Parigimania »urn:md5:9670bb4deebfaa02b7b896d687861e592023-12-15T17:06:00+01:002023-12-20T17:07:06+01:00RédactionVidéos Culture<iframe class="videos" src="https://www.youtube.com/embed/p-SaArIYPjA" frameborder="0" allowfullscreen></iframe>
<p>Paris est bien plus qu’une ville, c’est une idée. Une idée de liberté et de style, de créativité et de révolte, de créativité et de révolte qui, lorsqu’elle trouve un terrain fertile, est susceptible de prendre votre âme et de ne jamais vous quitter. C’est ainsi que Federico Iarlori parle de la Ville lumière où il a vécu quelques années et où il a connu le succès grâce au duo des Ritals dans la websérie qu’il jouait avec son compère et complice Svevo Moltrasio et dont on a tiré un film qu’on espère voir bientôt sur les écrans parisiens. On peut aimer Paris, on peut le haïr, mais cette ville ne laisse personne indifférent, et la « Parigimania », la « manie de Paris » est un virus qu’on attrape facilement et dont on ne se débarrasse jamais. Illustré par Monica Lovati, « Parigimania » est un guide amoureux, ironique et impertinent, qui passe en revue les aspects positifs et les aspects négatifs de la Ville Lumière.
Pour cette présentation à La Libreria de Paris, Federico Iarlori dialogue avec Eva Morletto, journaliste de télévision qui vit et travaille à Paris et qui est bien connue des téléspectateurs italiens et français.</p>http://italieendirect.italieaparis.net/article/paris-la-ville-ou-lon-attrape-le-virus-de-la-parigimania-403/#comment-formhttp://italieendirect.italieaparis.net/feed/atom/comments/403Palerme mon amour par Tatiana Termacicurn:md5:7c0a5cf2112ed682ef1660d765cbc9e32023-11-25T20:45:00+01:002023-11-25T20:45:05+01:00RédactionVidéos Culture<iframe class="videos" src="https://www.youtube.com/embed/GkKO0XuiB0g" frameborder="0" allowfullscreen></iframe>
<p>« Pérégrinations palermitaines » (Les éditions de l’Épure) est le portrait insolite d’une ville à travers le prisme des spécialités de sa cuisine. Partie de Strasbourg, la ville où elle habite et travaille, Tatiana Termacic est allée à la découverte de Palerme, la capitale de la Sicile, qui lui est apparue, au premier regard, comme une gigantesque scène de théâtre avec ses décors improbables. Elle raconte ses rencontres, ses émotions gustatives variées, riches, émouvantes à l’image de la ville. Elle parle de la lutte contre la mafia, et évoque quelques grandes figures siciliennes: les juges Falcone et Borsellino assassinés par la mafia, l’ancien maire de Palerme Leoluca Orlando, l’écrivain Giuseppe Tomasi di Lampedusa auteur du « Guépard ». A Palerme l’on retrouve partout l’empreinte des populations et des religions qui sont arrivées par vagues successives et on donné vie à une sorte de syncrétisme socio-culturel entre les cultures occidentale, islamique et byzantine, à une coexistence fructueuse entre les arabes, les latins, les juifs, les normands, les français, les espagnols. Cette coexistence se retrouve dans la cuisine palermitane si riche et si variée, dont Tatiana Termacic propose un choix de 30 recettes, les unes plus appétissantes que les autres. C’est autour de cette cuisine que Tatiana dialogue avec Alessandra Pierini, l’ambassadrice bien connue de la gastronomie italienne à Paris.</p>http://italieendirect.italieaparis.net/article/palerme-mon-amour-par-tatiana-termacic-401/#comment-formhttp://italieendirect.italieaparis.net/feed/atom/comments/401Nicola Guarino, ses huit nouvelles et c’est tout (« Tutto qui »)urn:md5:3fd7d7a9fa1acddbdcdfcec0a622f9892023-10-03T11:00:00+02:002023-10-03T11:00:00+02:00RédactionVidéos Culture<iframe class="videos" src="https://www.youtube.com/embed/b6sYCGS2t-A" frameborder="0" allowfullscreen></iframe>
<p>Voici bientôt 20 ans que Nicola Guarino a émigré de Naples à Paris, où il est vite devenu une figure familière et appréciée de la communauté italienne. Né à Avellino, il a grandi à Naples où il a fait ses études de droit. Pour pouvoir payer ses études, il a fait plusieurs « petits boulots », notamment à l’hippodrome napolitain d’Agnano. Ancien avocat, ancien journaliste, il est à l’origine, avec une petite équipe de passionnés, du site internet Altritaliani.net, journal d’informations politiques et culturelles. Passionné de cinéma, il a animé plusieurs festivals aussi bien à Naples qu’à Paris. Depuis plusieurs années il enseigne la langue et la culture italiennes aux étudiants de la Sorbonne ainsi que le droit constitutionnel à Créteil Paris 12. Il vient de publier son premier livre, un recueil de huit nouvelles sous le titre « Tutto qui » (c’est tout). Dans ce livre partiellement autobiographique (une des nouvelles a pour cadre l’hippodrome d’Agnano), Nicola Guarino raconte, avec une écriture élégante un style captivant et beaucoup d’humour les histoires de huit personnages qui peinent à trouver leur place dans le monde d’aujourd’hui. Après les huit nouvelles de « Tutto qui », l’auteur compte publier un roman, auquel il travaille actuellement.</p>http://italieendirect.italieaparis.net/article/nicola-guarino-ses-huit-nouvelles-et-cest-tout-tutto-qui-399/#comment-formhttp://italieendirect.italieaparis.net/feed/atom/comments/399Rendez-vous annuel avec le Festival italien de Parisurn:md5:89674975d8b3cdca9f6c26cd0313bb692023-09-28T11:13:00+02:002023-09-28T11:13:00+02:00RédactionVidéos Culture<iframe class="videos" src="https://www.youtube.com/embed/WueTEhdwQ9Q" frameborder="0" allowfullscreen></iframe>
<p>La première édition (octobre 2021) et la deuxième édition (octobre 2022) du Festival italien de Paris ont connu un franc succès. La coordinatrice de cette manifestation, Jacqueline Zana-Victor, compte bien renouveler et amplifier ce succès avec la troisième édition du festival, du 9 au 14 octobre 2023. Comme pour les éditions précédentes, le programme est très dense: conférences, tables rondes, concerts, projections de films. Ce sont huit rendez-vous en six jours que le festival propose aux parisiens, à tous ceux (ils sont nombreux) qui s’intéressent à l’Italie et à la culture de la « soeur latine ». Jacqueline Zana-Victor est la véritable maître d’oeuvre de ce festival. Elle a les compétences et l’expérience nécessaires, elle qui a organisé, dirigé, animé pendant 19 ans la Semaine Italienne de Paris. Le Festival italien de Paris est patronné par la Mairie du 13ème arrondissement de Paris, par le Consulat Général d’Italie, par la Maison de l’Italie à la Cité Universitaire de Paris, par la Société Dante Alighieri, par la Fondation Jérôme Seydoux Pathé et par L’Italie en Direct.</p>http://italieendirect.italieaparis.net/article/rendez-vous-annuel-avec-le-festival-italien-de-paris-398/#comment-formhttp://italieendirect.italieaparis.net/feed/atom/comments/398L’aventure terrestre d’Antoine de Saint-Exupéry racontée par la romancière italienne Romana Petri.urn:md5:8824f9675c1f1295fffaec2216bd1e152023-05-04T09:42:00+02:002023-05-04T09:42:00+02:00RédactionVidéos Culture<iframe class="videos" src="https://www.youtube.com/embed/fJ16X_4Tq-E" frameborder="0" allowfullscreen></iframe>
<p>« Rubare la notte » est l’histoire d’Antoine de Saint-Exupéry, l’auteur du best seller mondial Le Petit Prince, près de 200 millions d’exemplaires vendus , deuxième livre le plus traduit (plus de 400 langues et dialectes) après la Bible. C’est une biographie littéraire, réinventée et imaginaire, écrite par la romancière italienne Romana Petri (nom de plume de Romana Pezzetti) éditée par Mondadori. Ce livre est le 26ème publié par la romancière prolifique, et a été sélectionné parmi les douze finalistes candidats au Premio Strega (le plus important prix littéraire italien) 2023. Romana Petri est également critique littéraire et traductrice (en italien, du français, de l’anglais, de l’espagnol et du portugais) e chroniqueuse: ses chroniques paraissent dans les plus importants quotidiens italiens (Il Messaggero et La Repubblica de Rome, La Stampa de Turin, Il Corriere Della Sera de Milan). Lors de la présentation de son dernier livre à la Maison de l’Italie de la Cité Universitaire de Paris, Romana Petri a révélé comment elle est tombée amoureuse de Saint-Exupéry et pourquoi elle a voulu raconter sa vie extraordinaire.
L’incroyable succès du Petit Prince ne doit pas faire oublier les chefs d’oeuvre écrits par l’aviateur: « Courrier Sud », « Vol de Nuit », « Terre des hommes », « Pilote de guerre ».</p>http://italieendirect.italieaparis.net/article/laventure-terrestre-dantoine-de-saint-exupery-racontee-par-la-romanciere-italienne-romana-petri-396/#comment-formhttp://italieendirect.italieaparis.net/feed/atom/comments/396« Français, rendez-nous la Joconde! » Anatomie des malentendus franco-italiens.urn:md5:7b41275a8065366b8266b24cad58ce322023-04-30T09:56:00+02:002023-04-30T09:56:00+02:00RédactionVidéos Culture<iframe class="videos" src="https://www.youtube.com/embed/1FfJL7Yo6hI" frameborder="0" allowfullscreen></iframe>
<p>Peu importe que la Joconde ait été cédée par Léonard de Vinci au roi François I en échange d’une rente viagère. Les italiens dans leur grande majorité restent persuadés que le tableau le plus célèbre du monde fait partie du butin pillé par les troupes françaises, au cours des siècles et au hasard des guerres, dans les châteaux, les églises, les palais et les musées de la péninsule, les plus grands pilleurs étant les soldats des armées napoléoniennes. Ce n’est que l’un, peut-être bien le plus macroscopique, des nombreux malentendus, des incompréhensions qui émaillent l’histoire des rapports entre la France et l’Italie, deux pays si proches et pourtant si mal connus l’un de l’autre. Ce sont ces malentendus que passe en revue Stefano Montefiori, dans un livre plein d’humour, écrit directement en français et publié aux éditions Stock sous le titre provocateur « Rendez-nous la Joconde! ». Stefano Montefiori connaît bien la France, où il a passé son année Erasmus à l’âge de 20 ans, avant d’y revenir en 2010 comme correspondant du grand quotidien de Milan, « Il Corriere della Sera ». Contrairement à ce que pensent de nombreux italiens, les français ne les détestent pas, même s’il les traitent avec condescendance, voire avec arrogance. Mais il est vrai que tout en professant leur amour pour l’Italie, les français connaissent (et comprennent) mal les « cousins » italiens. C’est cette incompréhension que Stefano Montefiori s’efforce de dissiper, en se proposant de raconter et d’expliquer aux français l’Italie et les italiens. « Vaste programme », comme aurait dit le Général De Gaulle.</p>http://italieendirect.italieaparis.net/article/-francais-rendez-nous-la-joconde-anatomie-des-malentendus-franco-italiens-395/#comment-formhttp://italieendirect.italieaparis.net/feed/atom/comments/395Cinéma, les riches heures d’une passion franco-italienneurn:md5:7c1a0a2f529b73432c2f126d4c7dde082023-03-24T10:41:00+01:002023-03-24T10:41:18+01:00RédactionVidéos Culture<iframe class="videos" src="https://www.youtube.com/embed/Amv4LqFJjeY" frameborder="0" allowfullscreen></iframe>
<p>Les cinémas français et italiens ont eu leurs heures de gloire et leurs périodes fastes, comme le Néoréalisme et Cinecittà en Italie ou la Nouvelle Vague en France, qui ont donné lieu à des échanges et à de nombreuses coproductions. Acteurs et actrices, réalisateurs et réalisatrices, scénaristes ont travaillé des deux côtés des Alpes, et ont acquis notoriété et succès dans les deux pays. Enrico Castaldi, avocat international (son cabinet « Castaldi Partners » est établi à Paris et à Milan), est également un opérateur culturel passionné de cinéma. Il a produit un film documentaire, « Passion(e) Cinéma », mis en scène par Francesco Ranieri Martinotti qui a interrogé 23 personnalités sur les liens entre les cinémas français et italien. Martinotti, qui est également directeur artistique de « France Odéon », festival de cinéma français de Florence en Italie, a recueilli les témoignages passionnants de ceux qui ont eu un pied de chaque côté des Alpes, tels Valeria Golino, Fanny Ardant, Valeria Bruni Tedeschi, Monica Bellucci, Marco Bellocchio, Mathieu Amalric, Toni Servillo (pour n’en citer que quelques uns). Les interviews sont accompagnés d’extraits de films et d’images d’archives, pour souligner les différences et les affinités entre les deux modèles de cinéma, tout en rappelant que les industries cinématographiques française et italienne sont encore, respectivement, la troisième et la quatrième du monde, après les États Unis et l’Inde.</p>http://italieendirect.italieaparis.net/article/cinema-les-riches-heures-dune-passion-franco-italienne-394/#comment-formhttp://italieendirect.italieaparis.net/feed/atom/comments/394L’échange de figure: la différence érotique et l’origine de la philosophieurn:md5:877de4a92d8dc8f1d3f7d28a4551c9882023-03-19T11:50:00+01:002023-03-19T11:50:47+01:00RédactionVidéos Culture<iframe class="videos" src="https://www.youtube.com/embed/HUHseRHFy0Q" frameborder="0" allowfullscreen></iframe>
<p>Professeure de philosophie théorétique à l’Université de Palerme, Rosaria Caldarone est aussi, depuis 2022, directrice de programme au Collège international de philosophie (Ciph) dont le siège est à Paris. Elle a publié plusieurs livres, dont «Lo scambio di figura, tre studi sulla somiglianza e sulla differenza » et « La filosofia in fiamme, saggio su Pascal ». C’est sous l’égide du Ciph que Rosaria Caldarone organise et anime, en cette année 2023, un séminaire qui se tient à la Maison de l’Italie à la Cité universitaire, sur le thème:
« L’échange de figure - Différence érotique et différence sexuelle entre philosophie et littérature ». Rosaria Caldarone rappelle que dans son texte « Trouble dans le genre » la philosophe américaine Judith Butler écrit: « Pouvons-nous faire référence à un sexe « donné » ou à un genre « donné » sans d’abord nous demander comment, par quels moyens le sexe et / ou le genre est donné ? »
A cette question, Rosaria Caldarone répond en soutenant que bien avant la société, l’éducation, les normes, ce qui « donne » le sexe est l’éros, ou plus exactement la relation érotique. Par un long détour remontant à Platon, la philosophe sicilienne s’efforce de démontrer dans quelle mesure la philosophie peut contribuer à expliquer et si possible résoudre les problèmes posés à nos sociétés modernes par l’idéologie du genre, la transexualité, le transgenre, la dysphorie du gendre e leur rapport avec d’autres thèmes tels que le féminisme, l’homosexualité, la « différence sexuelle », etc…</p>http://italieendirect.italieaparis.net/article/lechange-de-figure%3A-la-difference-erotique-et-lorigine-de-la-philosophie-393/#comment-formhttp://italieendirect.italieaparis.net/feed/atom/comments/393La courte vie et l’étincelante carrière de Vincenzo Bellini, compositeur sicilien, racontées par Luigi La Rosaurn:md5:377a9fc6849b45b70557de58862868432023-03-04T23:25:00+01:002023-03-04T23:25:09+01:00RédactionVidéos Culture<iframe class="videos" src="https://www.youtube.com/embed/dK4TIJiP10k" frameborder="0" allowfullscreen></iframe>
<p>L’enfance à Catane, les années difficiles de ses études et de sa formation à Naples, puis l’arrivée à Milan, les débuts comme compositeur d’opéras, le « fiasco » de Norma à la Scala, puis le succès et le voyages à Londres et à Paris. C’est dans la capitale de la France que Vincenzo Bellini passera les dernières années de sa brève existence, et où il connaîtra ses plus grands succès, avant que la maladie ne le fauche, dans la force de l’âge, à 33 ans. C’est la prodigieuse aventure terrestre du musicien romantique, telle que nous la raconte un autre sicilien (mais né, lui, à Messine), Luigi La Rosa, dans un livre, « Nel furor delle tempeste » (éditions Piemme). Présenté comme un « roman » ce livre associe la vérité historique et l’invention romanesque dans le portrait de celui qui fut d’abord un enfant prodige, puis un homme séduisant. On le surnommait « le cygne de Catane »: ses cheveux blonds et ses yeux bleus, qui trahissaient, comme pour tant de siciliens, la lointaine ascendance normande, plaisaient beaucoup aux femmes. Et pourtant, sa vie sentimentale et amoureuse fut plutôt tourmentée. Ses peurs, ses doutes, ses amours, sa solitude, les déceptions, le succès, la mort prématurée. C’est tout cela que nous raconte Luigi La Rosa, qui s’est inspiré, pour le titre de son livre, à une lettre dans laquelle Bellini commentait le triomphe de son dernier opéra, « I Puritani », représenté en 1835 au Théâtre Italien de Paris. « I puritani », écrivait-il, « ont provoqué une telle fureur enthousiaste que j’en suis le premier stupéfait ».
Luigi La Rosa, qui partage son temps entre la Sicile, Rome et Paris, a publié un essai consacré au peintre impressioniste Gustave Caillebotte. En plus de son roman sur Bellini, il vient de publier un petit livre, un itinéraire dans les lieux « proustiens » de Paris.</p>http://italieendirect.italieaparis.net/article/la-courte-vie-et-letincelante-carriere-de-vincenzo-bellini-compositeur-sicilien-racontees-par-luigi-la-rosa-392/#comment-formhttp://italieendirect.italieaparis.net/feed/atom/comments/392La leçon d’Enée, ou comment résister à la criseurn:md5:919925bfd3d5121b6bb2dd9334e834912023-02-07T09:30:00+01:002023-02-07T09:30:01+01:00RédactionVidéos Culture<iframe class="videos" src="https://www.youtube.com/embed/nAtXIfWK4UY" frameborder="0" allowfullscreen></iframe>
<p>Comment le lecture ou la relecture des classiques de la littérature grecque et latine ancienne peut-elle nous aider à mieux résister aux crises présentes ou futures? C’est ce que nous explique Andrea Marcolongo, écrivaine et journaliste, dans son dernier livre « La lezione di Enea » (Laterza editore) dont la traduction française vient de paraître aux éditions Gallimard sous le titre « L’art de résister. Comment l’Enéide nous apprend à traverser une crise ». Andrea Marcolongo, originaire de Crema en Lombardie, a étudié la littérature classique à l’Université de Milan. Son premier livre « La lingua geniale. 9 buone ragioni per amare il greco » (edizioni Laterza, 2016) a connu un extraordinaire succès mondial. Parmi ses autres livres citons « La misura eroica: il mito degli Argonauti e il coraggio che spinge gli uomini ad amare » (Editions Mondadori 2018) et « De arte gymnastica. Da Maratona ad Atene con le ali ai piedi » (Editions Laterza 2022). « La lezione di Enea » nous fait découvrir la vraie personnalité du héros de Virgile dans une perspective moderne et très actuelle. Andrea Marcolongo en parle avec Jean Musitelli, ancien ambassadeur et actuel président de la Dante Alighieri Comité de Paris, dans un dialogue passionnant (et passionné) en langue italienne, dans le salon de la Maison de l’Italie à la Cité Universitaire de Paris. L’entretien est présenté par Maria Chiara Prodi, directrice de cette même Maison de l’Italie.</p>http://italieendirect.italieaparis.net/article/la-lecon-denee-ou-comment-resister-a-la-crise-391/#comment-formhttp://italieendirect.italieaparis.net/feed/atom/comments/391La Divine Comédie du point de vue de Béatrice, un film déconcertant.urn:md5:b8f1535026e142ecae4c1f896b9ada1f2022-12-22T11:15:00+01:002022-12-22T11:16:11+01:00RédactionVidéos Culture<iframe class="videos" src="https://www.youtube.com/embed/DK_NjmNCEXM" frameborder="0" allowfullscreen></iframe>
<p>« Ciel de Mars: c’est un film littéraire et poétique que Jean-Arneau Filtness, cinéaste et artiste visuel, a produit, écrit, réalisé, mis en image, et monté. Un film décidément original, une oeuvre qui a demandé beaucoup de temps et d’efforts. Cinq années ont été nécessaires à Jean-Arneau Filtness afin de lire et d’ étudier passionnément la Divine Comédie de Dante Alighieri. Puis neuf mois de répétitions au cours desquels le scénario a été affiné, et enfin le tournage. Ainsi a été réalisé le projet « Ciel de Mars », une adaptation en italien ancien de la Divine Comédie; et plus précisément une adaptation de la Divine Comédie du point de vue de Béatrice. C’est par la grâce de Béatrice que Dante accomplira son périlleux voyage à travers l’Enfer et le Purgatoire jusqu’au Paradis Céleste où il rencontrera le principe de toute chose. Raconter la Divine Comédie du point de vue de Béatrice n’est pas seulement un hommage à la modernité, ou un clin d’oeil au féminisme, mais une façon d’apporter une perspective nouvelle, en privilégiant les personnage féminins (bien moins nombreux que les personnages masculins) de la Divine Comédie, de Francesca da Rimini à Pia de’ Tolomei et Matelda. Les acteurs sont italiens, le film est entièrement en langue italienne, et tous les dialogues sont des vers de la Divine Comédie. Les sous-titres français sont issus de la traduction de Danièle Robert.
Né à Dublin dans les années 70, Jean-Arneau Filtness a un parcours artistique ponctué d’études philosophiques (Maîtrise de philosophie à l’Université Paris 8). Réalisateur de films d’art et d’essai, il a exposé plusieurs fois ses oeuvres en tant qu’artiste-plasticien.</p>http://italieendirect.italieaparis.net/article/la-divine-comedie-du-point-de-vue-de-beatrice-un-film-deconcertant-389/#comment-formhttp://italieendirect.italieaparis.net/feed/atom/comments/389Trois nouvelles d’Italo Calvino à découvrir ou redécouvrir avec Valentina Fruliourn:md5:c3bc9c878d3d4cb1d4075eba72ee2f922022-12-22T11:14:00+01:002022-12-22T11:14:32+01:00RédactionVidéos Culture<iframe class="videos" src="https://www.youtube.com/embed/zWCjXzTgdGM" frameborder="0" allowfullscreen></iframe>
<p>Après Leonardo Sciascia, Primo Levi, Pierpaolo Pasolini, c’est d’Italo Calvino que Valentina Frulio nous parle dans son nouveau cycle de conférences. Ecrivain prolifique, Calvino n’a pas écrit que des romans. Celui qui s’est fait connaître avec la célèbre trilogie « Nos ancêtres » (« Le vicomte pourfendu », « le Baron perché » et « Le chevalier inexistant ») et « Si par une nuit d’hiver un voyageur », est aussi l’auteur d’articles, d’essais, de nouvelles, de fables. Ce sont trois de ses nouvelles que Valentina Frulio, professeure d’italien à la Dante Alighieri de Paris, a choisi de nous faire découvrir ou redécouvrir le 15 décembre 2022 dans cette conférence, la deuxième de son nouveau cycle. Les titres des trois nouvelles sont: « Ultimo viene il corvo », « La giornata di uno scrutatore », « L’avventura di un lettore ». Trois textes moins connus que les romans, mais non moins intéressants, dans lequels sont déjà en gestation les thèmes que Calvino développera dans ses romans et dans ses essais. Italo Calvino avait des liens très forts avec la France: il avait vécu longtemps à Paris et s’était lié d’amitié avec plusieurs écrivains français, notamment Raymond Queneau et Georges Perec, qui l’avaient coopté dans l’Oulipo (Ouvroir de Littérature potentielle) , célèbre groupe de recherche littéraire.</p>http://italieendirect.italieaparis.net/article/trois-nouvelles-ditalo-calvino-a-decouvrir-ou-redecouvrir-avec-valentina-frulio-388/#comment-formhttp://italieendirect.italieaparis.net/feed/atom/comments/388Il y a cent ans, la marche sur Rome: comment la presse française de l’époque parlait de Mussoliniurn:md5:36a349a1a1ff54282bc144712fb935e22022-10-09T22:01:00+02:002022-10-09T22:01:00+02:00RédactionVidéos Culture<iframe class="videos" src="https://www.youtube.com/embed/ZgkXS_2WMDo" frameborder="0" allowfullscreen></iframe>
<p>Dans son nouveau livre, « Mussolini, un homme à nous », Alberto Toscano fait revivre plus de vingt années de l’histoire franco-italienne. Infatigable collectionneur de journaux anciens, il a puisé dans sa fabuleuse collection pour retrouver ce que les hommes politiques et les éditorialistes des journaux français disaient du Duce, témoignant à son égard d’une extraordinaire indulgence pour ne pas dire complaisance. La France commence à s’intéresser à Benito Mussolini à la veille de la première guerre mondiale, lorsque des hommes politiques tels que le ministre Jules Guesde, socialiste marxiste, ou le communiste Marcel Cachin, futur secrétaire général du PCF, voient dans le futur Duce un personnage clé, capable de pousser Rome vers la guerre. Jules Guesde annonce en 1915: « L’Italie va entrer en guerre à nos côtés », et il confie « Nous avons un homme à nous, c’est Mussolini. Nous l’avons aidé pour lancer son journal « Il Popolo d’Italia » par un premier envoi de 100.000 francs. » Sept ans plus tard, en 2022, lorsque Mussolini accède au pouvoir grâce à la marche sur Rome, la complaisance perdure: la classe politique et la presse voient en le futur Duce l’homme capable de rétablir la loi et l’ordre en Italie. Il faudra attendre l’assassinat du député socialiste Giacomo Matteotti (en 1924) et surtout l’agression contre l’Ethiopie et la Guerre civile d’Espagne (où Mussolini envoie des troupes pour aider Franco) pour que l’indulgence commence à vaciller. Alberto Toscano, qui vit à Paris depuis 36 ans et écrit dans différents médias italiens, est aussi, depuis trois décennies, l’un des journalistes de la presse internationale les plus présents sur les chaînes de radio et de télévision françaises.</p>http://italieendirect.italieaparis.net/article/il-y-a-cent-ans-la-marche-sur-rome%3A-comment-la-presse-francaise-de-lepoque-parlait-de-mussolini-385/#comment-formhttp://italieendirect.italieaparis.net/feed/atom/comments/385À cent vingt ans de la mort d’Émile Zola , Alberto Toscano propose une exposition sur l’écrivain.urn:md5:720c771b025d87641cf7218dbb06bc702022-10-09T10:52:00+02:002022-10-09T10:52:00+02:00RédactionVidéos Culture<iframe class="videos" src="https://www.youtube.com/embed/gQTO7gPkpuY" frameborder="0" allowfullscreen></iframe>
<p>Autour de la « une » du journal L’Aurore avec le titre « J’accuse »
(13 janvier 1898) et d’une autre « une » célèbre, celle du « Petit Journal » avec l’image du garde républicain qui brise sur son genou l’épée du capitaine Alfred Dreyfus: en cette année du cent vingtième anniversaire de la mort d’Émile Zola, Alberto Toscano, collectionneur compulsif de journaux anciens français et italiens, propose une exposition sur l’écrivain et l’affaire Dreyfus. Il a puisé dans sa fabuleuse collection pour retrouver des « unes » des journaux de l’époque, des images, des articles. À côté des « unes » bien connues - le journal « L’Aurore » daté du 13 janvier 1898 avec la manchette « J’accuse », ou le célèbre dessin du « Petit Journal » du 13 janvier 1895 qui représente un adjudant de la garde républicaine brisant l’épée de Dreyfus lors de la dégradation dans la cour de l’École militaire - Alberto Toscano a déniché une quantité de documents oubliés ou mal connus, qu’il a exposés dans les salons de la Marie du 9ème arrondissement de Paris. C’est lui même qui a guidé « L’Italie en direct » dans la découverte de l’exposition. Installé depuis 36 ans à Paris, où il suit l’actualité politique pour plusieurs médias, Alberto Toscano, qui est docteur en Sciences politiques, est aussi le plus connu des journalistes italiens en poste dans la capitale française. Il a été longtemps président de la presse étrangère à Paris, et il participe régulièrement et très fréquemment aux émissions d’information de la radio et de la télévision.</p>http://italieendirect.italieaparis.net/article/a-cent-vingt-ans-de-la-mort-demile-zola-alberto-toscano-propose-une-exposition-sur-lecrivain-384/#comment-formhttp://italieendirect.italieaparis.net/feed/atom/comments/384Le Festival Italien à Paris, un rendez-vous annuelurn:md5:11258503ee3365dfc0e854ced5e254282022-10-01T21:45:00+02:002022-10-01T21:45:00+02:00RédactionVidéos Culture<iframe class="videos" src="https://www.youtube.com/embed/cUsCSKA0JvQ" frameborder="0" allowfullscreen></iframe>
<p>La première édition du Festival italien, en octobre 2021, avait connu un franc succès. La coordinatrice de cette manifestation, Jacqueline Zana-Victor, compte bien renouveler et amplifier ce succès avec la deuxième édition du festival, du 11 au 15 octobre 2022. Comme en 2021, le festival fera découvrir ou redécouvrir aux parisiens toutes les facettes de la culture italienne, avec un programme très dense de conférences, de tables rondes, des concerts et des projections de films. Le Festival italien de Paris est patronné par la Ville de Paris, la Mairie du 13ème arrondissement, le Consulat général d’Italie, la Maison de l’Italie (à la Cité universitaire) et le Comites (Comité des italiens résidant à l’étranger). Jacqueline Zana-Victor est le véritable maître d’oeuvre de cette manifestation qui propose huit rendez-vous en six jours, et qui accueillera les nombreux parisiens qui s’intéressent à la culture de la « soeur latine ».</p>http://italieendirect.italieaparis.net/article/le-festival-italien-a-paris-un-rendez-vous-annuel-383/#comment-formhttp://italieendirect.italieaparis.net/feed/atom/comments/383